Paresse

 

 

La paresse, c’est attendre, que ça vienne tout seul... sans avoir à se bouger les fesses... !

Et c’est prendre le carburant chez l’autre puisque le contact avec la source est perdue, c’est faire jouer à plein pour soi la première loi énergétique... : se nourrir du mouvement de l’autre, c’est apparemment plus rapide, mais source de souffrance. Le contentement non vigilant, le contentement qui ralentit le mouvement, conduit à la paresse. C’est l’engourdissement. Le rêve s’installe. La paresse laisse couler et perdre le temps...

 

 

 

« Mais il est plus facile de se nourrir de l’autre que de tenter de s’alimenter tout seul… pour ensuite être capable de soutenir l’Univers.

Alors la paresse naturelle est là et cela est normal !… C’est l’habitude de l’homme ordinaire inscrite dans ses mémoires depuis des temps immémoriaux : le Ciel doit être toujours là pour lui… et il le prend comme il veut… et il l’honore comme il veut !

Nul reproche à émettre; la paresse est la compagne de l’homme ordinaire comme le vent est le compagnon de l’air ».

Homme Tigre 65